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Pour ceux qui savent ce qu'ils font

Lotus Emira V6 SE & Turbo : pour tous ceux qui préfèrent passer les vitesses plutôt que de glisser. Plus de puissance, plus de précision, plus de plaisir de conduite, impossible de faire mieux – et peut-être aussi avec un V8.

Publié le 09.06.2025

Pas de gadgets. Pas de drames. Pas de surcharge numérique. Juste vous, la route – et une Lotus qui sait conduire. Alors que d'autres constructeurs simulent l'expérience de conduite avec des écrans tactiles et des designs sonores, Lotus reste fidèle à l'essentiel : la boîte de vitesses, le son, la route.
La nouvelle Emira V6 SE ? 400 ch issus d'un V6 de 3,5 litres. Boîte manuelle, différentiel à glissement limité, 4,3 secondes pour passer de 0 à 100 km/h. Pas un défilé de mode, mais de l'ingénierie mécanique.

Deux recettes, un seul objectif : le plaisir de conduire à l'état pur.

Ou plutôt la recette AMG ? À vous de choisir : l'Emira Turbo offre quatre cylindres, deux fois plus de vitesses et la preuve que même les « débutants » méritent la génétique Lotus. Mais il ne s'agit pas seulement de chiffres. Il s'agit de sensations. De confiance en une technologie qui ne vacille pas sous la pression, mais tient ses promesses.



C'est pourquoi nous avons spécifiquement revu ce qui compte : le refroidissement, la transmission, le thermostat, la climatisation et le réglage du châssis. Pour des performances nettement supérieures, une réactivité plus précise et une constance absolue. Même lorsque la jambe droite commence à fatiguer.
Une ligne de course plutôt qu'une caméra de recul ? Pas de problème. Avec le nouveau pack Racing Line, l'Emira est plus affûtée qu'un cutter dans une cuisine en carbone : accents jaunes, rouges ou argentés, logos noirs, coutures colorées. Subtil ? Peut-être. Remarquable ? C'est garanti.

Une finale explosive ? Peut-être un V8.

Et maintenant, la rumeur qui nous coupe le souffle de joie : un V8 serait en discussion. Oui, vraiment. Lotus examine la possibilité d'équiper l'Emira d'un huit cylindres pour la grande finale (la production ne se poursuivra que jusqu'en 2027 !). Mercedes-AMG a encore quelque chose dans ses cartons. Lotus a le savoir-faire. Et nous ? L'envie d'entendre le vrombissement.



Bien sûr, les systèmes d'assistance sont à bord. Bla, bla, tout est très bien, mais ne vous inquiétez pas, ils ne transformeront pas votre voiture de sport en smartphone. Vous conduisez toujours vous-même. Et c'est bien ce que vous voulez. Ce qui reste : l'Emira n'est pas une voiture pour ceux qui s'émerveillent devant l'assistant de maintien de voie. C'est une voiture pour ceux qui savent ce que signifie un point de braquage bien réglé. Et ce que cela signifie de ne pas seulement tenir un volant, mais de le sentir. Direction hydraulique, double triangulation, véritable retour d'information. Pas de filtre. Pas de bêtises.
 
Disponible dès maintenant. Dans les showrooms à partir de septembre. Et après ? Qui sait. Peut-être plus jamais aussi pure, ou peut-être encore améliorée avec un V8. L'Emira n'est pas un moyen de transport. C'est une promesse. À tous ceux qui veulent conduire, et non être conduits.
 
 
Texte : GAT
Photos : Lotus

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